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Page:Rolland - Beethoven, 3.djvu/281

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LE CHANT DE LA RÉSURRECTION

se balance, soumise, et se rend. La première idée en prend possession. Son élan dominateur ff se répète en pp. (mes. 380 et suiv.), comme un acquiescement dicté. L’affirmation de la conquête est redite en p. par le conquis. Mais cela ne suffit pas encore au poing du vainqueur, qui insiste, par ses brutaux f. répétés (mes. 390 et suiv.).

[partition à transcrire]

Et c’est, à la fin, la soumission complète — sempre dimin. sempre pp.-. ppp.--, comme un soupir étouffé, — que clôt le geste impérieux, et sans réplique, du vainqueur.

[partition à transcrire]