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BEETHOVEN

d’un « Adagio en fa dièze mineur », faisant suite au « Menuet » [1], — « ou bien » d’un « Fugato en fa dièze majeur », qu’il dessine…[2] Mais ces grandes visions prémonitoires s’effacent aussitôt derrière les nuées, et l’esprit de Beethoven, qui s’abuse, revient à son idée de menuet, et, pour finir, de « rondo moderato », « avec une fugue comme

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