Page:Rolland - L’Âme enchantée, tome 5.djvu/284

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— « Merci. Va-t’en ! dit Simon. Tu es le seul que j’aie aimé. »

Marc ne trouvait plus la porte. La poigne de Simon, fraternellement, l’y ramena. Il n’eut même pas la force de se retourner, pour dire adieu à l’homme qui allait mourir.