se mit à explorer la muraille. Elles firent plusieurs fois le tour de la cave sans rien découvrir.
Un claquement lointain les arrêta. Catherine marmonna :
— Y sont dans le château !
Au même moment, elle s’arrêtait devant un bloc informe, plein de crevasses et de bosselures. Elle l’examina avec une attention croissante ; une sorte de sourire grave plissa ses paupières :
— Attends donc… v’là que ça me revient… je suis une fois venue par ici… oh ! il y a bien, bien longtemps… je n’avais pas encore atteint ma septième année… avec le petit Mauretourne… il y a un secret dans cette pierre… pas une mécanique… quelque chose qui marche depuis des cent et des cent ans…
Les mains rugueuses tâtaient, poussaient et tiraient.
— Non, c’est pas ça… voyons ! Faut mettre la main dans un creux…