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Page:Sénac de Meilhan - L'Émigré, Tome 2.djvu/116

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départ je me suis rappelée la circonstance des cheveux qui ne m’était pas revenue à l’esprit, et qui m’aurait certainement empêchée de céder à ses plus vives instances ; mais il n’était plus temps. Adieu, Émilie, voilà ma journée ; je m’abandonne à vos réflexions, et à vos conseils.

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