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Page:Sénac de Meilhan - L'Émigré, Tome 2.djvu/66

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savoir gré de les avoir contenus, jusqu’au moment ou elle les a, malgré moi, découverts. Adieu, ma chère cousine, il ne me paraissait pas possible que je vous aimasse davantage, et je crois cependant que vous m’êtes plus chère encore depuis quelques heures.

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