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Page:Sénac de Meilhan - L'Émigré, Tome 3.djvu/150

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a bien raison quand il dit, que ses infortunes sont au delà de l’Empire de la langue. Combien il me tarde que cette année soit finie ; c’est une superstition ; mais il me semble que son cours entier doit être marqué par les plus terribles événemens ; mon cœur est oppressé, mon esprit couvert des plus sombres nuages. Venez ma charmante amie, vous craindrez avec moi, vous pleurerez avec moi. Adieu, je vous attends et vous embrasse.

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