Aller au contenu

Page:Sade - La nouvelle Justine, ou les malheurs de la vertu, suivie de L'histoire de Juliette, sa soeur, tome 3, 1797.djvu/258

La bibliothèque libre.
Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.

ponnant vivement sur sa tante, et la sodomisant jusqu’aux poils, cet épisode est nécessaire, mon oncle a raison de l’exiger, mais je voudrais le rendre à Justine. — Rien de si aisé, dit Gernande… qu’elle se déshabille à l’instant… Il faut obéir ; et voilà notre héroïne contrainte à présenter ses fesses aux doigts luxurieux de Bressac, qui, les réunissant tous cinq, en forme une masse assez volumineuse pour molester cruellement le cul de cette pauvre fille. Dorothée seule restait sans ouvrage ; la gueuse se branlait au spectacle du plaisir des autres. — Madame, lui dit Gernande, coulez-vous sous ma femme, elle vous branlera ; je vais vous céder un giton, qui vous gamahuchera, pendant que votre clitoris sera pollué par ma femme, et votre trou de cul vivement secoué par Justine. Allons, mes amis, il me semble que voilà le groupe assez bien ensemble ; travaillons maintenant de concert, Parlez-moi donc de ma femme, au moins, messieurs ? c’est bien la peine que je vous la cède, si vous ne m’en dites pas votre avis. — Tiens, mon ami, dit d’Esterval en lui déchargeant dans le con, voilà le plus bel éloge que j’en puisse faire ; il faut qu’une femme m’irrite bien pour obtenir ainsi du foutre de moi, sans quelque