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Page:Sade - La nouvelle Justine, ou les malheurs de la vertu, suivie de L'histoire de Juliette, sa soeur, tome 3, 1797.djvu/337

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Marceline et Lili, le troisième.

Cécile et Rose, le quatrième.

Une des vieilles, et le plus joli des gitons, tireront le cinquième.

Vous voyez que j’excepte Victor ; les dispositions que vous lui reconnaîtrez incessamment le rendent plutôt digne d’être au nombre des agens, que dans la classe des patiens.

Les cinq billets s’écrivent, une vieille les balotte dans un calice, et, se plaçant sur l’ottomane, au bas du symbole de l’Être-Suprême, chaque couple vient tirer tour-à-tour, et est obligé de lire à haute voix le sort qui lui est échu.

D’Esterval a manifesté le vœu de pincer fortement les fesses, de mordre les trous de cul et les clitoris. Madame de Verneuil et Laurette lui échoient.

Bressac déclare qu’il enculera… qu’il pincera les tetons, et qu’il donnera de vigoureux soufflets. Madame de Gernande et Justine lui sont aussi-tôt livrées.

Dorothée piquera avec une épingle les parties du corps les plus sensibles, et chiera sur les deux visages. La vieille et le giton lui sont décernés.

Gernande déclare qu’il fera, sur chaque