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Page:Sade - La nouvelle Justine, ou les malheurs de la vertu, suivie de L'histoire de Juliette, sa soeur, tome 4, 1797.djvu/156

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rière ; mais on s’inquiette peu de ce qu’il éprouve. De seconds élans décident enfin la victoire ; le paillard est au fond, et de nouveaux blasphêmes précèdent ses lauriers : Léonarde est sous sa main ; il la patine, il la langotte, tout en sodomisant son fils ; et, pour que l’inceste soit mieux prononcé, le paillard veut baiser mes fesses, pendant qu’il encule mon frère ; on m’établit en conséquence sur les reins du bardache filial de sa révérence, et le sodomite s’en donne à son aise. Cependant, et toujours sous les yeux de mon père, Ives porte au cul de Martine les plus sensibles coups, pendant que sa maîtresse l’encule lui-même avec un godmiché. Ives, dit Siméon, bandes-tu comme moi ? Oui, foutre, répond celui-ci en retirant, pour le lui prouver, son vit couvert de merde du cul qu’il sodomise, et le renfonçant aussi-tôt, ce qui renouvelle tellement les douleurs de la malheureuse blessée, qu’elle est prête à s’en évanouir… tu le vois si je bande. — Eh bien ! sacre-Dieu, si cela est, dit Siméon, fais donc souffrir cette putain ; et l’infortunée contre laquelle s’arrangeaient de si lâches complots inondait la chambre de son sang. Double-foutu-Dieu, poursuit le scélérat, fous le trou qu’elle s’est