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Page:Sade - La nouvelle Justine, ou les malheurs de la vertu, suivie de L'histoire de Juliette, sa soeur, tome 4, 1797.djvu/95

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de par-tout. Voilà l’état où je veux lui faire l’honneur de la foutre encore une fois, dit Saint-Florent en quittant le cul de sa pucelle pour s’introduire au con qu’il vient de molester. Ah  ! dit-il en se pressant sur sa victime, c’est ainsi que j’aime à jouir d’une femme  ; rien ne me plaît comme quand mes cuisses s’imprègnent du sang que fait couler ma fureur  ; et soulevant aussi-tôt sa jouissance, il dérange par ce moyen le vit de son valet, et le remplace dans le cul de Justine  ; coules-toi sous elle, dit-il à Lafleur, et viens te venger sur mon cul du dérangement que je te cause  ; crois-tu que mon anus ne vaudra pas celui d’une putain  ?… Tout s’exécute, et ce sont maintenant les fesses de la petite fille que déchire le funeste aiguillon. Cependant Saint-Florent s’échauffe, son sperme est prêt à jaillir  ; il encule, on le sodomise, il tourmente  : que de délicieux épisodes pour un libertin de ce genre  ! Ahe  !… ahe  !… ahe  !… s’écrie-t-il (C’est sa passion que nous peignons ici d’après nature.)… ahe  !… ahe  !… qu’on me donne des couteaux… des poignards… des pistolets… que je tue… que je massacre… que je déchire… que j’assassine tout ce qui m’environne  ; et le foutre enfin exalé de la couille