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Page:Sade - La nouvelle Justine, ou les malheurs de la vertu, suivie de L'histoire de Juliette, sa soeur, tome 7, 1797.djvu/239

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nos seins, nous ôta, par ce moyen, la possibilité de nous relever et de pouvoir distinguer à qui nous avions affaire ; elle était assise près de nous, à moitié nue ; sa superbe gorge était presque à la hauteur de nos visages ; elle se plaisait à nous la faire baiser ; elle nous observait et regardait la soucoupe teinte de notre sang. On nous branla d’abord sur le clitoris, ensuite avec beaucoup d’art dans le con et au trou du cul ; on nous gamahucha à l’un et l’autre de ces orifices ; puis relevant et rattachant nos jambes par des cordons qui les maintenaient en l’air, un vit assez médiocre s’introduisit alternativement et dans nos cons et dans nos culs. Madame, dis-je à la Durand, dès que je m’apperçus de cette supercherie, êtes-vous au moins bien sûre de l’homme qui nous voit ? Simple créature, répondit la Durand, ce n’est pas un homme qui jouit de vous, c’est Dieu. — Vous êtes folle, madame, dit Clairwil, il n’y a point de Dieu ; et s’il y en avait un, comme tout ce qu’il ferait approcherait de la perfection ; on l’enculerait, peut-être, mais il ne foutrait pas des femmes. Silence, dit la Durand, livrez-vous aux impressions de la chair, sans vous