Aller au contenu

Page:Sade - La nouvelle Justine, ou les malheurs de la vertu, suivie de L'histoire de Juliette, sa soeur, tome 7, 1797.djvu/250

La bibliothèque libre.
Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.

sions lui prirent avant qu’il n’eut le tems de sortir du cul de mon amie, de manière qu’il mourut en l’enculant, ce qui jeta Clairwil dans une crise de plaisir si violente, que je crus qu’elle en expirerait elle-même. Sacredieu, nous dit la bougresse, je crois que j’ai son ame et son foutre à-la-fois ; vous n’imagineriez pas à quel point le vit de ce coquin-là s’est grossi pendant que les convulsions le travaillaient ; on n’a pas d’idée du plaisir que donne une semblable opération. O femmes voluptueuses ! empoisonnez vos fouteurs pendant qu’ils sont dans vos culs ou dans vos cons, et vous verrez ce qu’on y gagne ; nous eûmes effectivement toutes les peines du monde à retirer le vit du mort de l’anus de ma compagne, et quand nous en fûmes venues à bout, nous nous apperçûmes que les convulsions de la mort ne l’avaient point empêché de décharger. Eh bien ! dit Clairwil, ne vous avais-je pas bien dit que son ame s’était exhalée avec son foutre, et que mon cul avait tout recueilli.

Le cadavre s’emporte, et notre examen continue :

Ce troisième examen nous offrit, entre autres, le poison royal, celui qui, sous