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Page:Sade - La nouvelle Justine, ou les malheurs de la vertu, suivie de L'histoire de Juliette, sa soeur, tome 7, 1797.djvu/249

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qui régnait dans toute sa personne, établi par l’incroyable chaleur de ses passions. Au milieu de la crise, elle voulut baiser nos culs ; et la putain les gamahucha et les foutit comme l’eut fait un homme. Empoisonnez… empoisonnez donc, nous cria-t-elle au moment où le délire allait s’emparer de ses sens. Non, pardieu, dit Clairwil, il faut que ce manant-là nous encule toutes les deux avant ; et ici la Durand jeta des cris affreux, se tordit les membres, tomba dans une affreuse attaque de nerfs, et perdit une si grande quantité de foutre, que ma bouche, qui la suçait alors, s’en trouva pleine exactement. Il n’a rien perdu, nous dit-elle, en rejetant le jeune homme, empêchez-le de décharger, afin qu’il vous foute mieux ; et mon cul, se trouvant présenté le premier, ce fut dans lui que le fouteur vint élancer un sperme, dont le derrière de la Durand avait si bien préparé l’éjaculation. Je continuai, pendant qu’on m’enculait, de pomper les jets de foutre jaillissans encore du vagin de la Durand dont Clairwil langottait l’anus ; mon amie me remplaça bientôt, et ce fut, pendant que le jeune homme la sodomisait, que la Durand lui fit avaler la poudre. Les convul-