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Page:Sade - La nouvelle Justine, ou les malheurs de la vertu, suivie de L'histoire de Juliette, sa soeur, tome 7, 1797.djvu/309

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nière, pas un seul ne passait cet âge, et ils étaient de la plus délicieuse figure. Tous déchargèrent, et quelques-uns pour la première fois de leur vie ; les deux amis avalèrent le foutre de tous, en se branlant eux-mêmes et les enculèrent tous trente : ils se tenaient mutuellement le patient, plottaient cinq ou six minutes dans leurs culs, et ne déchargeaient point. En sortant de cette expédition, la luxure les avait tellement enflammés l’un et l’autre, qu’ils écumaient de rage ; à votre tour, s’écrie le duc, c’est vous, belle française, qui allez recevoir l’encens allumé par tant de jolis garçons ; votre cul, sans doute, ne sera pas si étroit que le leur, mais nous y supplérons, et ils humectèrent le trou de mon cul d’une essence dont l’effet fut tel, qu’ils me déchirèrent et me mirent en sang, quand il fut question de m’enculer ; tous deux y passèrent l’un après l’autre, et tous deux déchargèrent avec d’incroyables marques de plaisir, six petits garçons les entouraient en cet instant ; deux faisaient baiser leurs derrières, ils en branlaient un de chaque main, et deux se relayaient pour leur gamahucher le cul, en leur chatouillant les couilles en dessous. Ils disparurent ; je