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Page:Sade - La nouvelle Justine, ou les malheurs de la vertu, suivie de L'histoire de Juliette, sa soeur, tome 7, 1797.djvu/59

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seule un instant. Un homme, que je reconnus pour un évêque, avec lequel j’avais fait des parties chez la Duvergier, m’enconna de même, après s’être fait pisser sur le nez. Celui qui vint après, et que je reconnus également pour un ecclésiastique, me le mit dans la bouche et y déchargea. Une jeune personne très-jolie, vint se faire branler, je la gamahuchai de tout mon cœur. Un homme d’environ quarante ans, la prit les fesses en l’air et l’encula ; le libertin m’en fit bientôt autant, il nous invectivait en jouissant ainsi de nous ; il nous traitait de tribades, de gamahucheuses, et lorsqu’il en enculait une, il claquait toujours les fesses de l’autre. Que fais-tu de ces deux bougresses, lui dit un jeune homme, en l’abordant, et l’enculant lui-même ; tiens, bougre, voilà ce qu’il te faut, disait-il, et non pas des culs de femmes, Tout me quitte encore une fois, lorsqu’un vieux homme, armé d’une poignée de verges, vient m’en échauffer le derrière, et se faire un instant branler. N’est-ce pas toi qu’on a reçue ce soir, me dit-il ? — Oui. — Je suis fâché de ne t’avoir pas vu, j’étais au sérail ; tu as le plus beau cul du monde… courbe-toi, que je te sodomise ; et le vilain