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Page:Sade - La nouvelle Justine, ou les malheurs de la vertu, suivie de L'histoire de Juliette, sa soeur, tome 7, 1797.djvu/58

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te voilà garce comme une raccrocheuse ; j’ai été content de toi, tu m’as fait bander ; et le paillard m’enconne en me disant cela, Il lime un quart-d’heure, baise beaucoup ma bouche, puis, saisi par une autre femme, il me quitte sans décharger. Une vieille de soixante ans vint à moi, et m’ayant recouchée sur le canapé que j’allais quitter, elle me branla, et se fit branler fort long-tems. Trois ou quatre hommes nous examinaient ; un d’eux encula la matrone, et la fit crier de plaisir. Un autre de ces hommes voyant que je me pâmais sous les coups de doigts de la tribade, vint m’offrir son vit à sucer ; et comme la vieille me quitta, le coquin passa de ma bouche à mon con ; il avait le plus beau vit du monde, et foutait à merveille ; une jeune personne me l’enleva encore, il me laissa là pour la foutre à mes yeux ; ma rivale me fit un signe, je l’approchai, et la putain me gamahucha ; elle eut le foutre de l’homme qu’elle m’avait enlevée, je lui donnai le mien. Deux jeunes gens nous assaillirent, et formèrent le grouppe le plus agréable, en nous enconnant toutes deux ; ma compagne suivit le jeune homme, avec lequel elle venait de s’amuser, et me laissa