Aller au contenu

Page:Sade - La nouvelle Justine, ou les malheurs de la vertu, suivie de L'histoire de Juliette, sa soeur, tome 7, 1797.djvu/64

La bibliothèque libre.
Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.

qui les administraient, me firent rendre dans leur bouche ; on me fit péter, cracher ; un homme se fit enfoncer un million d’épingles les dans les couilles, dans les fesses, et resta ainsi toute la soirée ; un autre avait pour manie de me sucer par-tout ; il passa, pendant deux heures, sa langue dans ma bouche, sur mes yeux, autour de mes oreilles, dans mes narines, entre les doigts de mes pieds, et déchargea en me l’enfonçant dans le cul. Plusieurs femmes exigèrent de moi d’être enculées avec des godmichés ; une me fit branler sur le trou de son cul, le vit d’un homme qu’elle m’amena ; elle voulut que j’y fisse ensuite entrer le foudre avec le bout de mon doigt ; une très-jolie fille me chia sur les fesses, un vieux homme la suivit, qui l’encula en dévorant, sur mon cul l’étron qu’elle venait d’y faire. On m’assura que c’était le père et la fille. Je vis d’autres couples semblables ; je vis des frères enculant leurs sœurs ; des pères enconnant leurs filles ; des mères foutues par leurs enfans ; enfin tous les tableaux de l’inceste, de l’adultère, de la sodomie, de la prostitution, de l’impureté, de la crapule, de l’impiété s’offrirent à moi sous mille nuances,