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Page:Sade - La nouvelle Justine, ou les malheurs de la vertu, suivie de L'histoire de Juliette, sa soeur, tome 7, 1797.djvu/65

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et je crois que jamais les bacchanales ne réunirent, à la fois, plus d’ordure et plus d’infamie.

Lassée du rôle de victime, je voulus être agente à mon tour ; j’attaquai cinq ou six jeunes gens dont les vits me parurent fort gros, et qui tantôt d’un côté, tantôt de l’autre, quelquefois de tous deux ensemble, me foutirent pendant près de deux heures. Au sortir de là un vieil abbé se fit branler sur mon clitoris, par une très-jolie nièce, que je gamahuchais ; un assez beau jeune homme voulut baiser mes fesses, pendant qu’il enculait sa mère. Deux jolies sœurs me mirent entre elles, l’une me branlait le con, pendant que l’autre me chatouillait le derrière ; je déchargeai, sans me douter que le papa les enconnait alternativement toutes deux. Un autre père me fit enculer par son fils, pendant qu’il jouissait du jeune homme, de la même manière ; il me sodomisa lui-même après, et son fils lui rendit ce qu’il venait d’en recevoir. Un frère m’enconna, pendant que sa sœur l’enculait avec un bijou de religieuse… et tous ces prétendus outrages à la nature, se passaient avec un ordre… une tranquillité bien capables de nourrir les ré-