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Page:Sade - La nouvelle Justine, ou les malheurs de la vertu, suivie de L'histoire de Juliette, sa soeur, tome 7, 1797.djvu/94

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mes deux mains l’empoignaient à peine. C’était le plus beau champignon, le plus rubicond, qu’il soit possible d’imaginer. Par un miracle de la nature, uniquement accordé par elle à ses favoris, Claude était doué de trois couilles… mais, comme elles étaient pleines !… comme elles étaient gonflées ! il y avait, de son propre aveu, plus d’un mois que le coquin n’avait perdu de semence. Quels flots il en répandit dans le con de Clairwil, sitôt qu’il en eut touché le fond ; et dans quel état, cette prolifique éjaculation, mit ma voluptueuse compagne. Claude me maniait en foutant, et la manière adroite, dont il chatouillait mon clitoris, me fit bientôt imiter les modèles que j’avais sous les yeux. Le moine se retire ; je le patine ; Clairwil reste en attitude. La putain se chatouille en attendant qu’on la refoute. L’outil reprend sa vigueur, j’ai si bien l’art de le branler[1] !

  1. On fait toujours bien ce qu’on aime ; et le lecteur ne doit pas oublier que Juliette nous a dit, que sa plus grande passion consistait à branler des vits. En est-il au monde une plus voluptueuse ! Quels délices