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Page:Sade - La nouvelle Justine, ou les malheurs de la vertu, suivie de L'histoire de Juliette, sa soeur, tome 9, 1797.djvu/348

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conduisant vers la partie de l’amphithéâtre, et nous verrons ce qui arrivera. À peine placés, nous voyons entrer dans le milieu de la salle, douze jeunes femmes de seize à dix-huit ans, de la plus délicieuse figure. Elles étaient revêtues d’une simple chemise à la grecque, qui laissait leur gorge découverte ; et sur ces seins, plus fermes et plus blancs que l’albâtre, chacune portait un enfant nud, lui appartenant, et de l’âge de six à dix-huit mois ; six beaux hommes, le vit à la main, se glissèrent en même-tems auprès de nous ; deux enculèrent Ferdinand et Francaville ; les quatre autres nous offrirent leurs services, de telle manière qu’ils nous plairaient de les accepter : dès que nous fûmes foutus tous six, les douze jeunes femmes, formant un demi-cercle autour de nous, furent troussées par un nombre égal de petites filles, vêtues à la manière des Tartares, qui, s’agenouillant près de la femme qu’elles troussaient, nous exposaient par une attitude agréablement dessinée, la plus superbe collection de fesses qu’il fût possible de voir. Voilà de superbes culs, dit Francaville, sous le vit monstrueux qui le sodomisait ; mais ils sont malheureusement