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Page:Saint-Point - L’Orbe pâle, 1911.djvu/69

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la mer, celle qui scrute le mystère des êtres et des choses, celle qui contemple les cieux étoilés et la pâle lune, celle qui, avec la matérialité de l’écriture édifie son rêve, et avec ses muscles vainc les forces, est bien la même femme. La même femme qui n’a toujours qu’un seul but. Par le rêve, l’action et la création, tromper l’attente. »