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Page:Sicard - Le Jardin du Silence et la Ville du Roy, 1913.djvu/159

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XIV


M’avez-vous tant donné de paix et de courage
            Pour me les retirer,
Ô jardin transparent qui portez un visage
            Si calme et si doré ?

J’avais en vous remis la pure confiance
            De mon élan nouveau.
Vous étiez le soutien de ma bonne espérance
            Qui s’achève trop tôt.