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Page:Sicard - Le Jardin du Silence et la Ville du Roy, 1913.djvu/31

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IX


            N’ayez souci de mon émoi
            Et ne veuillez être que belle.
            Ce n’est votre cœur mais vos ailes
            Que je veux garder contre moi.

            Demande-t-on à la fontaine
            Plus que son eau vive ? Au jardin
            Plus que ses roses ? Au matin
            Plus que sa clarté ? De ma peine