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Page:Sicard - Le Jardin du Silence et la Ville du Roy, 1913.djvu/60

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Luit entre deux volets. Une verveine entoure
            La maison de sa tiède odeur.
De la plaine endormie, que les ombres labourent,
            Sont revenus les moissonneurs.

À peine un peu de vent se lève. Sur la route,
            Qui passe entre deux grands cyprès,
Bêle un troupeau. L’enfant sourit, la vieille écoute…
            Plus rien… la nuit et son secret…