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Page:Sicard - Le Jardin du Silence et la Ville du Roy, 1913.djvu/69

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VIII


            Isès jette sur la terrasse
            Les mailles noires de son cœur
            Et chacun de nous les ramasse
            Pour refaire un peu de douleur.

            Isès est lasse du voyage
            À la maison où Dieu frappa
            En cachant dans le paysage
            La mort qu’il portait dans les bras.