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Page:Sicard - Le Jardin du Silence et la Ville du Roy, 1913.djvu/78

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            Le visage étincelant
            De l’allée en devient rouge.

            Dans les buis une ombre bouge…
            Est-ce vous et votre amant

            Princesse de tous les temps
            Qui vivez dans les bocages ?

            Que votre grâce volage
            Ne fasse pas un boudoir

            Du parc et du paysage ;
            Le jeune dieu pourrait voir

            Ce qu’il ne me faut comprendre.
            Faites votre cœur moins tendre,

            Épargnez votre vertu,
            Pour que ma faiblesse dise