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Que mon temps serait perdu.
Renouez, comme cerises,
Dans la dentelle vos seins.
Il a plu dans cette église
Où vous mettez des coussins.
Septembre vous environne ;
Une fontaine a chanté.
Les derniers jours de l’été
Vous tressent une couronne.
Éloignez-vous de ce parc
Ô tentatrice éveillée !
Je ne veux tendre mon arc
Que vers des feuilles mouillées.