Aller au contenu

Page:Silvestre - Les Ailes d’or, 1891.djvu/105

La bibliothèque libre.
Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.
88
LES AILES D’OR

Le temps sépare notre route :
Du moins si nous avions aimé !
Le ciel sur nous s’est refermé ;
Nous aurions bien souffert, sans doute,
Mais, du moins, nous aurions aimé !