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Page:Souvenirs d'enfance de Sophie Kovalewsky.djvu/126

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ma sœur.

souvent que je n’y prêtai pas, d’abord, grande attention ; mais cette fois la chose fut sérieuse. D’une part l’institutrice s’était trop avancée pour pouvoir convenablement reculer ; de l’autre, mes parents, fatigués de scènes incessantes, qui lassaient tout le monde, ne la retinrent pas : ils espéraient qu’après le départ de l’Anglaise, la maison deviendrait plus calme. Je doutai, jusqu’au bout, de ce départ ; l’heure de la séparation sonna cependant.