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Page:Stanley - Comment j'ai retrouvé Livingstone, trad Loreau, 1884.djvu/203

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que l’Oudoé, peu d’aussi pittoresques. De grands cônes élèvent au-dessus de la forêt leurs têtes coiffées de légers nuages, entre lesquels un soleil étincelant darde ses rayons, verse des flots de lumière, et tire des globes feuillus, étagés


sur les pentes, des effets de couleur à désespérer le plus ambitieux des peintres.

C’est, depuis la côte, le premier endroit où le voyageur épris des beautés de la nature soit saisi d’admiration. La route gravit