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Page:Stendhal - Pensées, II, 1931, éd. Martineau.djvu/228

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filosofia nova

Il me semble que sa première scène au quatrième fatigue. Est-ce la faute du caractère ou de Molière ? La grande scène où on l’attrape ne fatigue pas, elle intéresse fort.

En nous montrant l’odieux on nous montre un des inconvénients de la vie, on nous cause un désespoir.

Borneveld qui devrait être la plus utile des pièces fatigue à voir jouer, je n’irai pas une troisième fois.

Le Vaniteux par exemple est très odieux dans la vie commune, mais c’est nous que regarde entièrement le droit et le moyen de le punir ou nous avons seuls le moyen de le punir.