Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.
252
pensées
Je relis la plupart de mes cahiers[1]. Je les trouve remplis de choses communes, mais peut-être elles ne me paraîtraient pas si simples si je ne les avais pas laborieusement découvertes.
Je vois qu’à l’avenir je n’écrirai que the word lui-même ou des anecdotes.
Ils m’ennuient et me rendent triste.
*
En lisant des descriptions[2] de caractères, tu t’es figuré que tu étais ce que tu avais envie d’être. C’est l’effet d’une sympathie très vive.
Dans le fait tu es toujours le même. Tu ne sais pas feindre.