Aller au contenu

Page:Stendhal - Pensées, II, 1931, éd. Martineau.djvu/324

La bibliothèque libre.
Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.
323
filosofia nova


*

La lecture du commentaire de Voltaire sur Corneille m’a amené au point de vouloir que tous mes vers fussent des qu’il mourût. Ce qui me jetterait nécessairement dans l’affecté, je renonce donc à la lecture de ce commentaire, et je lis l’Héloïse[1].

*

Lorsqu’on éprouve une douce satisfaction en écrivant on peint sans s’en douter celle d’un cœur honnête[2].

*

La domenica verso le tre, l’ora la piu felice della mia vita nelle dolci illusioni dell’amore e della gloria ; dopo verri.

*

Cinna, le Cid, le Menteur, Andromaque, Phèdre, le Misanthrope, Tartufe, Venceslas, Rhadamiste : 9.

En p. de 6 sous et en grand vélin. Manuels.

  1. 2 brumaire XII [25 octobre 1803].
  2. 23 brumaire XII [15 novembre 1803].