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Page:Stendhal - Rome, Naples et Florence, III, 1927, éd. Martineau.djvu/11

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la peinture des passions. Il voit les mœurs des Italiens ; de là il passe aux gouvernements qui font naître les mœurs ; de là à l’influence d’un homme sur l’Italie. Telle est la malheureuse étoile de notre siècle, l’auteur ne voulait que s’amuser, et son tableau finit par se noircir des tristes teintes de la politique.