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Page:Sue - La Bonne aventure, Tome 4, 1851.djvu/303

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— Il y a encore quelque chose de fort singulier. Tu le sais, le duc de Beaupertuis n’accompagnait de sa vie sa femme au bal, absorbé qu’était ce cher homme par la contemplation et l’étude de ses scarabées.

— Oui, je sais cela.

— Eh bien ! depuis le commencement de l’hiver passé, lorsque sa femme, à de rares intervalles, paraissait dans le monde, M. de Beaupertuis l’y suivait et ne la quittait pour ainsi dire pas des yeux.

— Il est donc devenu jaloux ?

— Je le crois, et il n’avait cependant pas de motifs de l’être, en raison du moins de ce