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Page:Sue - La Bonne aventure, Tome 4, 1851.djvu/41

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Bonaquet avec une angoisse croissante. — Joseph, je t’en conjure, explique-toi ; ne te désespère pas ainsi, confie-nous tes peines en toute sincérité ; peut-être te serons-nous de bon conseil.

— Je ne mérite plus ton amitié, Jérôme, — répondit Fauveau avec confusion ; — je t’ai menti, je t’ai trompé !

— Toi ? toi ?

— Et en venant ici, je manque à une promesse jurée. C’est encore un acte de malhonnête homme ; mais bah ! une fois qu’on y est, qu’est-ce que cela fait ?