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Page:Sue - La Bonne aventure, Tome 5,1851.djvu/153

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courage et votre dévouement ; il me serait pénible, de mourir avec cette pensée que mon corps et celui de ma petite fille seront brutalement ensevelis par des mains profanes ; en vous suppliant d’accomplir auprès de nous un triste et dernier devoir, je mourrai moins malheureuse persuadée que vous ne refuserez pas ma prière.

« La nuit vient tout à fait : adieu, une dernière fois adieu ! Cette lettre vous sera portée dès que l’on entrera dans cette chambre.

« Priez pour moi et pour mon enfant !

« Clémence Duval. »

« (La lecture de cette lettre est suivie de