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Page:Sue - La Bonne aventure, Tome 5,1851.djvu/16

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— Dieu merci ! ma chère ; c’est une garantie de plus pour le repos et le bonheur de notre vie.

— Je l’ai cru, monsieur… Mais aujourd’hui, je crains de m’être trompée.

— De vous être trompée ! Comment cela, ma chère ?

— Monsieur, lorsque je vous ai connu à Naples, j’étais sur le point de me marier avec un de vos compatriotes, M. le duc de Villemur…

— Mariage d’orgueil. Votre unique but était de vous entendre appeler madame la duchesse.

— C’est la vérité. Je ne vous l’ai pas ca-