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Page:Sue - Les misères des enfants trouvés III (1850).djvu/171

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— Nous parlerons plus tard de Robert de Mareuil, — dis-je à Bamboche, après un moment de réflexion. — Continue ton récit.

— C’est moi qui le continuerai pour lui, reprit Basquine, car il dirait mal ce qu’il y a eu de bon, de généreux dans sa conduite envers moi.

— Tu as raison, Basquine… — lui dis-je, — nous t’écoutons.