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Page:Sue - Les misères des enfants trouvés IV (1850).djvu/74

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je vis Régina étendue dans son fauteuil, la figure inondée de larmes. Mais aussitôt elle se retourna brusquement du côté de la cheminée, afin sans doute de me cacher ses pleurs, et elle me dit d’une voix irritée :

— Cette lumière est insupportable… Qui vous a sonné ?…

— Il est l’heure où j’apporte toujours la lampe de Madame la princesse, et…

— Il suffit… Remportez-la… Vous l’apporterez quand je la demanderai.