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Page:Sue - Mathilde, tome 4.djvu/223

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je ne pourrais résister longtemps et que je perdrais peut-être tout sentiment avant que le fatal mystère fût éclairci…

Pendant qu’Ursule était abîmée dans ses réflexions, pendant que Gontran lisait la lettre qu’Ursule lui avait répondue et que la malheureuse femme croyait m’avoir remise, je lisais, moi, cette lettre de mon mari qui avait motivé celle de ma cousine.