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Page:Sue - Mathilde, tome 4.djvu/7

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CHAPITRE PREMIER.

UNE MÈRE.


Jamais je n’oublierai les émotions saisissantes de cette nuit que je passai dans une sorte de délire raisonnable, si cela se peut dire.

Tantôt je marchais à grands pas dans ma chambre, tantôt je m’arrêtais brusquement pour m’agenouiller et pour prier avec ferveur ; puis j’avais des éclats de joie folle, des ressen-