Aller au contenu

Page:Taxil, Hacks, Le Diable au XIXe siècle, Delhomme et Briguet, 1894.djvu/525

La bibliothèque libre.
Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.


Pas un de ces gredins ne semble appartenir à l’humanité. On dirait qu’on a réuni dans cette salle toute une collection de ces phénomènes vivants, épouvantables à voir, dont l’exhibition d’un seul suffit souvent à faire la fortune d’un Barnum de foire. (Page 532.)

— Monsieur, sachez que j’ai conduit, il y a quatre ans, ici, un étranger comme vous, et il se comporta exactement comme vous le faites. Il prit à gauche, en me donnant ordre de l’attendre. Je lui demandai combien de temps il resterait à explorer la grotte par là. Il me répondit : deux heures.

— Parfaitement, c’est aussi environ deux heures que je prends pour mon excursion…

— C’était un jeune homme, plein de gaité ; c’est la différence qu’il avait avec vous, qui me paraissez bien grave…