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Page:Taxil - Confessions d'un ex-libre-penseur - 1887 - Letouzey et Ané - 6e édition.djvu/137

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V

LA COMMUNE



le règne des journalistes. — gent et les élections générales. — une fausse joie de spuller. — programme officiel exécuté au rebours. — les malheurs d’henri fouquier. — un gouvernement improvisé. — tout marseille sautera. — le gâchis insurrectionnel. — le 4 avril. — fin de la commune révolutionnaire.


À part le tapage des clubs, pendant l’administration de Gent, les Marseillais se tinrent assez tranquilles.

Le successeur d’Esquiros, pour se concilier les bonnes grâces de la presse, s’entoura de journalistes de toutes nuances. On ne rencontrait plus que des journalistes à la Préfecture : les salons, cabinets, divisions et bureaux