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Page:Teleny, or The Reverse of the Medal, t. II.djvu/125

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qui s’éleva de toutes les lèvres.

Tous les couples s’unirent, s’embrassèrent, frottèrent leurs corps nus l’un contre l’autre, essayant les nouveaux excès que leur lubricité pouvait inventer.

Quand enfin le spahi retira son organe mou du derrière de son ami, le sodomisé tomba sans connaissance sur le sopha, tout couvert de transpiration, de sirop de dattes, de sperme et de crachats.

« Ah ! » dit le Spahi en allumant tranquillement une cigarette, « quels plaisirs peuvent être comparés à ceux des Cités de la Plaine ? Les Arabes ont raison. Ils sont nos maîtres dans cet art ; car là, si tout homme n’est pas passif dans son âge viril, il l’est toujours dans sa première jeunesse et dans sa vieillesse, quand il ne peut plus être actif. Ils savent, contrairement à nous, par une longue pratique, prolonger ce plaisir pour un temps éternel. Leurs instruments ne sont pas énormes, mais ils se gonflent dans de bonnes proportions. Ils sont habiles à accroître leur propre plaisir par la satisfaction qu’ils procurent aux autres. Ils ne vous inondent pas de sperme aqueux, ils vous aspergent de quelques gouttes épaisses qui vous brûlent comme du feu. Comme est lisse et brillante leur