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Page:Theuriet - Lilia, 1897.djvu/75

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quand le bal prit fin, aux premières lueurs de l’aube, et qu’ils purent se retirer dans leur chambre. Comme l’amour console de tout, ils s’embrassèrent passionnément et oublièrent ainsi les menus désagréments, les petites piqûres de cette première soirée passée en famille.