Aller au contenu

Page:Theuriet - Lilia, 1897.djvu/90

La bibliothèque libre.
Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.

inexplicable retard, remarquait que les jupes de la princesse, plus mouillées que de coutume, laissaient de suspectes traînées d’eau sur le parquet soigneusement ciré.