J. A. Borelli, l’un des premiers créateurs de la Physiologie, ne les avoir pas envisagés comme M. Gorter : il est positif sur cet article ; cet acte est accompagné, d’une espece d’affection convulsive, qui porte les plus rudes atteintes au cerveau & à tout le genre nerveux[1].
M. Senac attribue positivement aux nerfs les foiblesses qui suivent le coït. La cause la plus vraisemblable de la syncope qui survient quand un abscès s’ouvre dans l’intérieur de l’abdomen : c’est, dit-il, l’action des nerfs qui se mettent alors en jeu. Cela est confirmé par l’abattement ou par la syncope qui suivent l’effusion du sperme ; car ce n’est qu’aux nerfs qu’on peut imputer cette défaillance[2].
M. Lewis[3] attribue plus a cette cause qu’à l’autre, tout comme Sanctorius.
Dès qu’il y a convulsion, le genre nerveux se trouve dans un état de tension, ou, plus exactement, dans un degré d’action extraordinaire, dont la suite nécessaire est un relâchement