Page:Tolstoï - La Famine, 1893.djvu/186

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quarante, les pauvres douteux sont admis, et si ce nombre est dépassé, il devient nécessaire de refuser l’accès de ces douteux.

Ordinairement quelques personnes, qui, sans aucun doute, doivent être nourries, se trouvent omises, et des modifications sont faites suivant les réclamations. Dans le cas où, dans un même village, il y a trop de personnes complètement pauvres, on ouvre dans le même village un deuxième et, quelquefois, un troisième réfectoire.

En général dans nos réfectoires, de même que dans ceux de notre voisine N. F…, qui les a organisés indépendamment de nous, le nombre des personnes nourries au réfectoire constitue le tiers du nombre total d’habitants.

Quant aux personnes qui expriment le